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Accoucher sans souffrance, c'est possible

Après être passée moi-même par la grossesse, l'accouchement et le post-partum, je vous accompagne dans votre projet parental avec, en plus de mes formations et mon expérience professionnelle, la lumière de mon expérience personnelle. Et je peux en témoigner : accoucher sans souffrance, c'est possible !


Avec ou sans péridurale ou autre anesthésie, l'accouchement peut être redouté car il s'accompagne dans la majorité des cas de douleurs, d'inconforts et d'imprévus.


Ce post est le reflet de mon expérience de l'accouchement et ne constitue en aucun cas une recette miracle pour accoucher sans souffrir, ni une injonction à avoir un accouchement "parfait". Il a pour unique but d'encourager les futures mamans qui appréhendent leur accouchement, et de présenter un aperçu de l'accompagnement que je propose.


La préparation : se mettre en condition pour le jour J

Durant toute la grossesse, on évolue. On peut la vivre au jour le jour ou avoir envie de se projeter. En tout cas, on sait qu'à la fin de la grossesse, on accouchera. C'est donc le moment de se renseigner et d'envisager ce que vous souhaitez pour votre accouchement, et d'en discuter avec le corps médical afin d'élaborer un projet de naissance qui allie vos souhaits et les possibilités selon votre santé, la santé du bébé et les protocoles de votre lieu d'accouchement.

Dans le même temps, vous pouvez vous préparer mentalement (et physiquement) à cette épreuve digne des jeux olympiques : l'accouchement.



De la douleur mais pas de souffrance

En l'absence d'anesthésie, la douleur fait partie de l'accouchement. Et même si vous souhaitez une péridurale, il est possible de passer plusieurs heures en compagnie de la douleur. Il est alors important de distinguer la douleur de la souffrance.


La douleur : sensation physique plus ou moins intense, qui fait partie de l'accouchement et se vit au moment présent.


La souffrance : difficulté voire impossibilité de supporter cette douleur, impression très négative qui laisse un mauvais souvenir.


En accouchant on peut très bien ressentir une (très forte) douleur, sans en souffrir, c'est-à-dire bien vivre cette douleur.



La pensée positive

C'est un concept de PNL : se concentrer sur l'aspect positif d'une situation permet de la vivre plus sereinement. En l'occurrence, les contractions vous veulent du bien !

Chaque contraction vous rapproche un peu plus de votre bébé,

et une contraction ne dure que 45 secondes, c'est très court ! Ensuite c'est le soulagement pendant quelques minutes.



"Dans ma bulle"

C'est la base de l'hypnose et l'auto-hypnose, et c'est aussi l'état naturel d'une femme qui accouche : la conscience modifiée. On se place dans son monde, un peu extraite du monde extérieur, et pourtant bien réveillée et lucide. C'est utile pour supporter les sensations et l'effort produit par notre corps. Cet état peut être amplifié par la pratique de l'auto-hypnose et la sophrologie. D'où l'importance de se préparer en amont.



Se faire du bien

Choisissez ce qui vous plaît : une playlist apaisante ou dynamisante, de la lecture divertissante, de bonnes choses à manger (si c'est médicalement accepté), des postures de yoga, des massages... laissez aller votre créativité, tous les moyens sont bons pour vous sentir à l'aise.

Personnellement j'avais prévu plein de choses, et finalement je me suis retrouvée à onduler du bassin et faire de l'humour avec les équipes de la salle de naissance.



Lâcher prise

S'il y a bien un moment où on peut lâcher le contrôle et oublier totalement le qu'en dira-t-on, c'est quand on accouche. Alors soyez sans filtre, c'est votre moment !




Toutes les informations concernant mon accompagnement des futures et jeunes parents : Périnatalité


Et pour tout savoir sur l'accompagnement que je propose :

> En savoir plus


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