Arrêter de sucer son pouce ou la tétine avec l'hypnose
On n'y pense pas forcément, et pourtant, l'hypnose permet d'arrêter de sucer son pouce ou la tétine ! Il faut que l'enfant ait au minimum 5-6 ans pour pouvoir avoir une interaction orale suffisante. Et on peut travailler sur ce sujet avec des ados et même des adultes, sans limite d'âge !

Le travail par l'image
Avec les enfants, on pratique une hypnose dite "conversationnelle", c'est-à-dire que l'on travaille sur l'imaginaire de l'enfant dans le cadre du jeu et du dialogue. Et pour cela, tous les moyens sont bons : les jouets, le dessin, le mime, des jeux de rôle... les possibilités sont infinies !
Avec les plus grands, on travaille de la même façon, en s'adaptant à l'imaginaire de chacun.e, et on peut faire de l'hypnose plus traditionnelle, dans un état de relaxation.
Comment ça marche ?
L'idée est de transformer en douceur le lien qu'entretient l'enfant avec la succion du pouce ou de la tétine, tout en continuant à combler ses besoins de sécurité, confort etc. J'amène
l'enfant à imaginer ses propres changements. Passer par l'imaginaire permet d'obtenir des changements concrets tout en dépassant les éventuels blocages ou peurs.
Combien de séances sont nécessaires ?
Tout dépend des enfants, des situations, du contexte. En moyenne, je compte 2 à 5
séances. En fonction de ce qui a changé depuis la séance précédente, on affine ce qu'il reste à travailler. Donc il n'y a pas d'accompagnement-type, je m'adapte à votre enfant.
Pour aller plus loin
Il n'y a pas que l'arrêt du pouce ou de la tétine qui peut être travaillé en hypnose. Tous les comportements touchant à la dépendance, l'obsession ou la compulsion peuvent être soulagés avec l'hypnose, en complément d'un suivi médical si nécessaire : troubles du comportement alimentaire, onychophagie (se ronger les ongles) etc. Et pour les plus grands, l'arrêt du tabac, bien sûr.
Pour plus de précisions concernant mon accompagnement, vous pouvez visiter mon site internet et/ou me contacter directement.
Article à retrouver également sur le blog de Parency.fr